aujourd'hui est une occasion absolument pas particulière, et c'est pour ça que j'ai décidé de bloguer (comme l'épée de Carotte pour ceux qui comprendront la référence). Vu que je blogue rarement, je n'ai pas envie d'en faire des caisses. Je reviendrai peut-être à un moment sur les réseaux qui m'ont éloignée de mon blog pendant longtemps (autres que les évidences du boulot et de la vie blabla), mais en attendant, j'ai des manucures à montrer.
Comme vous le savez si vous avez la constance d'être une habituée de ces lieux, j'aime les livres. J'adore les livres, j'ai toujours aimé ça, et après avoir passé mon enfance et mon adolescence à vider les rayons de la bibliothèque locale, je suis entrée en école de traduction et j'ai commencé à lire en anglais, et depuis je n'ai quasiment plus arrêté. J'en ai fait mon métier et je suis beaucoup plus calée en littérature anglophone que française, c'est étrange mais c'est comme ça!
Vous vous doutez alors bien que quand MoYou a sorti une collection de plaques de stamping sur la littérature, je suis devenue dingue.
Et la première plaque que j'ai testé, c'était la Jane Austen, qui est plus particulièrement axée sur Pride & Prejudice.
Pour cette manucure, j'ai utilisé Captive Goddess, Dancing with Nureyev et Tristam d'A-england, Bruised Nutcracker d'EP et Starry Night of the Sumer de FunLacquer.
Et en background, la très belle édition de Pride & Prejudice offerte par ma Minnie chérie pour Noël!
Voilà, et vous les ongles assortis aux lectures, ça vous inspire?
Ces derniers temps, je suis pas mal dans une période bleue (oui, j'me prends un peu pour Picasso, tranquille!). Si vous me suivez sur Instagram, vous avez pu voir hier que j'ai enfin trouvé un vernis holo bleu marine, couleur dont je rêvais depuis pas mal de temps, mais on en reparlera plus tard. Avant cela, j'ai, comme beaucoup d'autres, craqué sur le bleu layette du printemps type Porcelaine de Dior. Bon, je n'ai pas acheté du Dior, mais j'ai pris la version NCLA "Let's Stay Forever". Côté couleur, il est parfait, mais l'application est proche du cauchemar en trois voire quatre couches. Je l'ai associé à un bleu plus soutenu, l'Azure Blue de Gade offert par Chiara. C'est un dupe de l'Adora-bleu de Bourjois (que j'avais jusqu'à ce que le pinceau casse dans le flacon, bien joué...).
Ensuite, pour décorer, j'ai sorti le Kiko 628, adorablement offert par CharlyneBB lorsque j'ai lancé un appel sur Instagram pour compléter ma collection de Kiko Metallics (d'ailleurs il me manque le 624, si vous souhaitez vous en séparer, je suis acheteuse!!), et j'ai stampé avec la plaque Moyou Bridal 04.
Voilà, une manucure toute simple mais qui fait un joli effet!
Aujourd'hui il fait beau et mon boulot m'a un peu laissée tranquille cette après-midi, donc j'ai décidé de faire plein de photos et de lancer une "série" comme j'aime bien faire sur ce blog. Le thème? La plage. Enfin, presque, ce qu'on trouve sur la plage. Enfin, sur la plupart des plages. Bref, le thème, c'est le sable! J'ai décidé de vous présenter ma collection de vernis texturés.
Alors oui, il y a de grandes chances que vous en ayez par-dessus la tête des texturés, mais que voulez-vous, moi j'adore les texturés, et ce pour plusieurs raisons. D'abord, je trouve que c'est une façon très sympa de porter des paillettes tout en étant plus facilement portables que des paillettes classiques. Un autre avantage des texturés est qu'ils sèchent vite, et le fini texturé permet de récupérer les éventuels accrocs. Donc les texturés sont super pratiques pour avoir une manucure rapide et parfaite.
Et la cerise sur le gâteau, c'est que ça marche aussi, voire mieux, pour les pédicures. L'effet texturé permet de ne pas avoir le vernis terni comme cela arrive souvent sur les pieds. Sans mentir, depuis la sortie des premiers texturés, je ne mets plus que ça sur mes pieds, c'est juste parfait.
Donc cette semaine, je vous montre les différents vernis texturés que je possède, en commençant par la plus récente acquisition, le sublime Free Fall de Formula X.
Free Fall est un très beau bleu clair à paillettes argentées qui lui donnent un aspect givré absolument magique. L'application est un poil compliquée, sur les photos on voit qu'il y a quelques trous, mais au deuxième essai, j'ai attendu un peu plus pour la deuxième couche et c'est parfait.
En début de semaine, j'ai eu envie de bleu et de taupe sur mes ongles, allez savoir pourquoi. J'ai donc sorti le Adora-Bleu de Bourjois et Taupe-less Beach d'OPI.
Et une fois les couleurs posées, le vide total. Je savais que je voulais décorer, mais aucune idée de comment. Mes doigts sont restés comme ça pendant deux jours, jusqu'à ce que je reçoive mes dernières plaques Messy Mansion, dont la plaque MM32 à thème égyptien.
Et là, ce fut l'évidence, je voulais des ongles égyptiens (égyptiens -> Dark Horse -> le titre de l'article, même si ma manucure est sans aucune comparaison avec les merveilles réalisées par Didoline sur le même thème).
J'adore, j'adore, j'adore, comme quoi des fois, on ne sait pas trop où on va et le résultat est vraiment sympa!
je reviens enfin pour la suite et la fin de la saga de la Belle et la Bête, avec les dernières adaptations en date, la comédie musicale et le film de Christophe Gans. Juste avant, je ne résiste pas au plaisir de vous mettre une petite chanson bien de circonstance...
La Comédie Musicale
Donc, revenons au 21ème siècle, avec tout d'abord la comédie musicale qui se joue depuis octobre au théâtre Mogador.
Comme je vous le disais dans le dernier épisode, je vois des défauts dans La Belle et la Bête de Disney (faut dire aussi que je suis très difficile à satisfaire sur cette histoire), mais j'y vois aussi beaucoup de qualités indéniables, notamment la musique. La musique est vraiment très chouette, et déjà dans le dessin animé, on voit le potentiel de comédie musicale, avec différents tableaux comme le matin au village, le dîner de la Belle, la scène de la taverne... j'avais donc beaucoup d'attentes quant au spectacle de Mogador, d'autant plus que j'avais eu la chance de voir le Roi Lion dans le même théâtre et j'avais été littéralement bluffée.
J'ai pris les billets dès l'ouverture des ventes pour le 30 octobre dernier, dans les premières semaines de représentation. C'était fantastique, notamment parce que ce qui me déplaît dans le dessin animé est corrigé dans la comédie musicale, tout d'abord parce qu'elle dure bien plus longtemps, ça permet d'insister davantage sur pas mal de choses.
Au niveau de l'histoire, l'accent est plus mis sur la personnalité de Belle, sa différence et son sentiment d'exclusion, ainsi que sur le ressenti de la Bête et sa gestion de sa propre différence et monstruosité, et cela permet un meilleur développement de l'histoire d'amour entre les deux personnages, c'est un peu plus crédible que dans le dessin animé. A côté de cela, le personnage de Gaston est également plus développé et le comédien, Alexis Loison, est extraordinaire. Mon seul regret est que l'entracte tombe tard dans l'histoire et casse le rythme sans qu'il y a suffisamment de temps ensuite pour replonger dedans.
Vous l'avez compris, j'ai vraiment été conquise, je compte d'ailleurs y retourner, et je ne peux que vous encourager à profiter de ce spectacle tant qu'il se joue encore (il s'arrête cet été je crois), c'est à ne pas rater!
Enfin, la dernière adaptation dont je vais parler est celle au cinéma de Christophe Gans, avec Vincent Cassel et Léa Seydoux.
Le film de Gans
Encore une fois, je ne me suis pas posée bien longtemps la question de savoir si j'irais voir ce film, même si je ne suis fan ni de Léa Seydoux, ni de Vincent Cassel. Je ne pense pas vous l'avoir dit, mais ma p'tite sœur le Dr Minnie est d'origine lozérienne, passionnée par l'histoire de la Bête du Gévaudan, donc forcément, Le Pacte des Loups est un incontournable de la DVDthèque (même si on est bien d'accord que c'est du gros n'importe quoi historique, mais bon, elle, elle adore Vincent Cassel, et puis y'a Marc Dacascos). De mon côté, j'ai toujours eu l'impression que le problème de Christophe Gans était de vouloir faire des films fantastiques sur des sujets réels, donc j'étais assez optimiste sur son adaptation d'un conte.
Ce film est une merveille visuelle, l'esthétique est magique. Que ce soit les visuels du château, de la forêt, du port ou de la ferme, les images sont splendides et on se laisse complètement emporter.
Au fur et à mesure de l'histoire, j'ai vu des références à Legend de Ridley Scott (la salle de dîner très sombre et la présentation des robes pour la Belle m'ont rappelée la scène de la danse entre la princesse et le mannequin) et à l'univers de Miyazaki (les p'tites bestioles qui s'occupent de Belle font très manga), et après avoir lu cette interview, il semble que j'avais raison.
Côté histoire, Gans retourne à la version classique du marchand qui, comme dans le conte, a trois fils et trois filles (l'une des deux autres filles est d'ailleurs jouée par Audrey Lamy, décidément parfaite pour jouer les crétines insupportables, on en vient se demander dans quelle mesure c'est un rôle de composition!! XD ), et ce sont les dettes d'un des fils qui vont entraîner l'invasion du château à la fin. Côté héros, on avance encore d'un cran dans les révélations sur les raisons du sort funeste de la Bête: en effet, une grande partie du séjour de la Belle dans le château est occupé par ses rêves dans lesquels elle apprend le passé du maître des lieux.
On y voit un seigneur noble et arrogant, obsédé par la chasse et qui, malgré la promesse qu'il a faite à son épouse de ne plus pourchasser la biche blanche du domaine, ne peut résister et finit par tirer sa flèche d'or au cœur de l'animal, avec des conséquences funestes.
La grande différence entre cette Bête et celle de Cocteau est l'absence totale de honte ou de contrition du héros. C'est assez surprenant au départ, mais si on retourne à l'interview que j'ai mis en lien plus haut, on comprend pourquoi. Je vous explique.
Gans dit s'être inspiré de la version du conte antérieure à celle transcrite par Leprince de Beaumont, celle de Madame de Villeneuve. Les deux versions divergent principalement par le fait que celle de Villeneuve a une deuxième partie, où l'on assiste à une querelle de fées sur les origines de la Belle. Clairement, il n'y a pas trace de cette deuxième partie dans le film de Gans, alors à quoi Gans se réfère-t-il quand il parle de l'histoire "éclipsée par le digest qu'en a fait Madame le Prince de Beaumont"? Et bien mes amis, il parle de la dimension sexuelle. Non, je vous arrête tout de suite, Madame de Villeneuve n'est pas le marquis de Sade et le film de Gans n'a rien d'un porno. Mais on ne peut nier la connotation sexuelle du conte de la Belle et la Bête, car le personnage de la Bête est une représentation de la bestialité de la Belle, la Belle est plus Bête qu'il n'y paraît (tout comme la Bête est plus Belle), elle est à la fois fascinée et apeurée face à cette part d'elle-même qu'elle connaît mal mais qu'elle rêve de découvrir.
Et c'est cet angle-là que Gans a adopté pour son histoire, entre une Belle qui se croit maline et capable de tenir tête à la Bête et une Bête qui a pleinement conscience de sa puissance et de sa nature sauvage et qui cherche une compagne capable de l'accepter tel qu'il est.
Il n'y a pas de moments tendres dans le film de Gans, pas de conversations dans le jardin comme chez Cocteau, ni de séances de lecture comme chez Disney (on a une jolie valse qui n'est pas sans rappeler celle du dessin animé, mais cela ne va pas très loin), toute la relation entre les deux personnages est résumée par la scène de la poursuite sur la glace et cette phrase de la Bête "tu as vu ce que je suis, veux-tu encore de moi?" avec tous les sous-entendus que ça implique...
Une fois que j'ai eu compris cette approche, j'ai beaucoup mieux accepté le casting. Je n'avais aucun doute sur Vincent Cassel, je ne suis pas particulièrement fan mais il faudrait être aveugle pour nier son charisme, en revanche j'étais plus réservée sur Léa Seydoux, j'ai vraiment du mal (je trouve qu'elle a une tête à claque XD), mais je dois bien admettre que pour le coup, c'est très bien trouvé.
Enfin, le film de Gans montre également une filiation avec celui de Cocteau dans sa "mythologie": toute la magie y est païenne et liée aux esprits de la forêt, même l'intérieur du château est très végétal dans son décor, et à mes yeux tout cela est directement inspiré des décors de Cocteau et de la magie de Diane.
Voilà, le temps que j'écrive mon article, je doute que ce film soit encore sur les écrans, mais si vous avez l'occasion, je vous le recommande. Il est très différent de ce que vous avez pu voir avant, mais personnellement j'ai vraiment adoré du début à la fin (la fin qui est d'ailleurs très intéressante et donne une morale particulière à l'histoire), je vous le recommande chaudement!!
Bon, après tout ce blabla, j'vais pas vous laisser sans manucure hein! J'ai voulu reprendre l'ambiance de l'affiche du film de Gans, en jouant sur des couleurs sombres, des motifs végétaux et quelques roses magiques et précieuses.
Pour ça j'ai sorti mon Cutie Pie de HiTs Marimoon (dupe de l'Ozotic 504), posé sur une base noire, sur lequel j'ai stampé des motifs végétaux (en provenance de différentes plaques Messy Mansion, je ne saurais plus vous dire lesquelles) avec Lady of the Lake, St George et Tristam d'a-England. J'ai terminé en traçant un B au dotting tool et en faisant des petites roses en doré.
Voilà, j'espère que cette série vous a plu, désolée que ça ait pris aussi longtemps, mais la bonne nouvelle c'est que je voulais finir ça avant de vous montrer d'autres choses, donc j'ai quelques manucure en stock qui ne vont pas tarder à être publiées!!
Allez, on va dire que ça fait pas une semaine que je ne suis pas venue par ici et que je ne suis pas du tout en retard sur le dernier épisode de "La Belle et la Bête". J'y travaille, c'est promis, j'suis juste un peu débordée en ce moment. Mais voilà, aujourd'hui c'est Mardi Gras et ça fait un bail que je voulais faire une manucure sur ce thème pour vous montrer une magnifique bague que j'ai eue à Noël : la bague Venetian Vanity d'Alchemy Gothic.
(je m'excuse pour mes doigts en mauvais état, je bataille toujours avec ma peau sèche et mon eczéma). Pour faire une manucure assortie j'ai commencé par un dégradé de Tristam d'A-england avec Hope & Cosmos de Picture Polish sur quatre doigts et Push & Shove d'OPI sur l'annulaire (je vous le remontrerai correctement, là entre les décos et le top-coat, il n'est vraiment pas mis en valeur).
Et hop, un gros plan pour bien voir le dégradé.
Enfin, pour finir ma manucure, j'ai sorti la plaque Explorer 13 de MoYou, composées de masques vénitiens et j'ai stampé (pas avec Push & Shove, il sèche trop vite, mais avec le Kiko argenté de la collec Mirror Mettallics)
Voilà, je vous souhaite un bon Mardi-Gras, n'abusez pas trop sur les beignets quand même!!
Bonjour, comment allez-vous, ça faisait longtemps!!
Allez, pour me faire pardonner, aujourd'hui six vernis d'un coup, je vous fait une vrai collection review à l'américaine!
A la seconde où j'ai vu cette collection, je savais que je la voulais. A la seconde où j'ai vu les premiers swatchs, je me suis dit "encore des vernis qui rendent rien en photo", et je peux vous le confirmer. Ces vernis sont sublimes, mais très compliqués à rendre en photo... Allez, on y va ?
On commence par Arabella, le rose fuchsia foncé, qui est un ton plus foncé en vrai qu'en photo. C'est un mélange de rose et d'argent, avec, bien cachées mais qu'on peut voir sur l'ongle de temps en temps, des paillettes violettes. Le vrai rose d'automne, fifille dans être trop pétant.
Dhara, l'orange, la bonne surprise. Je ne suis pas fan d'orange, mais celui-ci est vraiment très beau, mélange d'orange et de jaune doré, il est très lumineux mais le côté mat lui donne une certaine sobriété. Je le vois très bien pour la période d'Halloween!! Selon l'application, vous aurez peut-être besoin de trois couches.
Chita, le vert sapin. Plus foncé sur l'ongle que dans le flacon à cause des paillettes argent qui masquent un peu la couleur de base dans le flacon. Application facile, on peut s'en sortir avec une couche, une très jolie couleur même pour celles qui ne sont pas fana de vert.
Tomoko, le champagne, sans doute le plus dur à photographier. Très joli, très classe, moins opaque que ses copains, il faut trois couches. C'est sans doute le moins indispensable de la collection, il ressemble beaucoup au Beyond Cozy d'Essie (qui sèche mat) je vous ferai une comparaison.
Carter. Aaaaah, Carter. Je l'ai montré sur Instagramm hier et tt le monde s'est pâmé, à juste titre. Mes photos sont un crève-cœur ( ne regardez pas trop mon auriculaire, méchante crise d'eczéma), j'ai bidouillé mes réglages pour me rapprocher de la bonne couleur (c'est pas encore tout à fait ça) et j'ai des mains de zombie... :/
Une base violette avec des paillettes, ce vernis est une tuerie, chaud et lumineux tout en étant parfaitement de saison pour l'automne, il est vraiment sublime. La première couche est très peu opaque mais ça s'équilibre à la seconde.
Et enfin Sunshine, le bleu. Comme pour Chita, la couleur sur l'ongle est plus foncé que dans le flacon, c'est un beau bleu marine avec des paillettes très brillantes qui ne se voient pas du tout sur la photo! Comme son comparse vert, on peut s'en tirer avec une seule couche si on s'applique.
Je suis enchantée de cette collection, ils sont très différents des premiers Pixie Dust de la marque, beaucoup plus chargé en paillettes, et les couleurs foncées accentuent encore l'effet, c'est juste superbe. Si je ne devais en garder que trois, ce serait sans surprise le violet, le rose et le bleu, même si le orange est vraiment surprenant.
Ces vernis seront bien sûr disponibles d'ici peu sur la Pshiiit Boutique (dès que j'ai une date, je vous le dis)!
Nan, ne partez pas en courant, je ne vais pas tout vous faire en anglais (même si j'envisage sérieusement de repasser mon blog en bilingue, ça me manque). Aujourd'hui, c'est dimanche, et c'est donc Nailstorming. Après deux rendez-vous ratés, j'ai bien failli continuer sur ma lancée, pas par flemme (presque pas), mais parce je prépare une surprise qui demande pas mal de boulot (han, le suspens de malade). Mais voilà, quand je me suis levée ce matin, j'ai vu qu'il pleuvait. La pluie pour un thème Angleterre, c'était un signe divin, il fallait que je sorte mes vernis!!
J'ai fait dans le classique avec du rouge, du bleu et du blanc, un Union Jack qui souffre de Parkinson et un ongle "Underground" inspiré par cette photo. Ongle Underground qui m'aura bien fait galérer, faut vraiment que j'investisse dans des pinceaux ou des nail-art pens parce dès qu'il faut faire du fin, c'est l'horreur.
En fait, c'est sur le pouce que ce situe ma petite touche originale, c'est ça qui m'a fait penser à la station de métro, même si au début, je ne voulais pas écrire Temple mais... Paddington - mauvaise idée, beaucoup trop long...
Et oui, c'est bien lui, le seul et unique Padington Bear! en ciré et chapeau de pluie, forcément ;). Quant à la théière, elle vient, sans surprise, du M&M's Store de Leicester Square
Je vous laisse, je retourne bosser à mon projet secret!!
Bonjour tout le monde!! Le Nailstorming de la semaine, c'est "Tropical Nails". N'étant pas une grande fan des tons orangés et jaunes (ni du soleil et de la chaleur des tropiques), j'ai choisi de partir sur des couleurs de crépuscule avec un dégradé bleu-violet-rose. J'ai sorti Cosmos et Pink Plumeria et avant de me poser la question du violet, j'ai acheté Taboo donc j'ai eu envie de l'utiliser.
Le dégradé n'a pas été simple, les vernis néons sont assez compliqués à travailler mais j'aime bien le résultat final (en revanche, j'ai beau adorer Cosmos, c'est une plaie quand il faut le nettoyer, ce que vous voyez là c'est après TROIS nettoyages au pinceau...)
Ensuite, j'avais pensé faire des cocotiers en noir, mais je n'ai pas les ongles assez longs pour que la partie rose fasse la taille du cocotier, donc on ne voyait rien. Comme j'ai opté pour du blanc et que ça perdait tout réalisme, j'ai continué en mettant des motifs d'été sur tous mes ongles, sans chercher à faire un "coucher de soleil tropical".
Voilà, j'espère que cette manucure vous inspire les vacances et vous fait voyager malgré la météo maussade. Bon dimanche!